Mon mari et moi nous sommes connus lui avait 30 ans et moi 8 ans de moins.

J'avais été séduite par cet homme sûr de lui , bon amant et un peu macho.

Il ne désirait pas que je travaille,et il fît de moi une femme à la maison....ses revenus assurant notre bon niveau de vie.Alain et moi vivions ainsi tranquillement ,avec une sexualité tout aussi tranquille.

Pour ces 50 ans je lui organisais une fête avec tous ses amis. Ce fut l'occasion pour lui de revoir certains d'entre eux et de renouer avec d'autres.

Patrick et son épouse Martine devinrent des habitués de la maison. Lui était assez quelconque physiquement, et elle plutôt jolie ,brune tout comme moi,poitrine agressive,et belle cambrure, on se demandait ce qu'elle lui trouvait. Je compris vite que Martine était au goût de mon mari,qui ne ratait pas une occasion de les inviter dans notre maison ,montrant sa réussite sociale et son pouvoir.

Durant ces trois suivantes années ,il vit du gring à Martine au sus de tous y compris de Patrick et moi même,Martine ne répondait pas à ses sollicitations,pire elle s'en amusait. Alain avait alors 53 ans et moi qui le connaissait voyais poindre le doute dans son esprit. C'est à cette période là que nos pratiques sexuelles évoluèrent.

Alors que jusqu'à présent c'était lui qui donnait le tempo,me sentant menacé,je devins plus active. je m'évertuais à le maintenir excité en m'habillant beaucoup plus court,portant bas et portes jarretelles,n'hésitant pas lorsque nous avuons 5 minutes à m'agenouiller pour lui prodiguer un début de fellation, toujours interrompu par le manque de temps.

Autrefois il aurait exigé de jouir sur le champs,mais les temps avait changé,je le tenais chaque fois un peu plus,m'apercevant que plus je l'excitais,plus ,lui perdait de sa superbe. je m'amusais ainsi à le faire languir toute une semaine avant de lui accorder une jouissance explosive. Moi qui m'était fait un devoir de le satisfaire dès qu'il le désirait durant toutes ces années,je découvrais donc mon pouvoir sur lui . Ses jouissances et son excitation étaient telles qu'il en redemandait. Lui qui s'exprimait si peut auparavant , chantait au moindre coup de langue. Il ne m'honorait plus que lorsque je lui en laissais l'occasion, car après toute une semaine,et parfois plus, de frôlement, de fellations avortées,de croisements de jambes auxquels il était devenu de plus en plus attentif, dès que je le prenais

en bouche il devenait de plus en plus passif. Etant devenu très volubile , je lui faisais raconter ses phantasmes tout en le suçant très lentement, j'appris ainsi à diriger ceux-ci simplement en accélérant ma bouche dès qu,il émettait une idée me plaisant.

C'est ainsi que nous passâmes à la période branlette. Alain avait toujours détesté cela , sans doute une remunessance de sa jeunesse. Je le suçais donc très lentement,trop,et petit à petit le finissais à la main, lui faisant dire à quel point il aimait la branlette. Au bout de 6 mois il était devenu un adepte inconditionnel de la branlette. Il adorait sentir ma main le frotter au dessus de son pantalon, devenait fou lorsque derrière lui j'ouvrais sa braguette et lui prodiguais quelques aller retour. Il me suppliait de le «finir» ,mais je tenais mon homme après 24 ans de mariage, je n'allais pas le lâcher. Martine et Patrick continuait à nous fréquenter et furent témoins de l'évolution d' Alain, me posant des questions en catimini.

Un soir Patrick n'y tenant plus ,me questionna ,pendant que mon mari profitait en compagnie de Martine de la piscine:

Ecoute Sylvie , c'est incroyable comme Alain a évolué en 4 ans,il ne s'intéresse même plus à Martine , c'est quoi le secret ?

Ben , il y en a pas ! lui répondis je.

Je suis sûr qu'il y a un truc ,reprit il, tu lui as posé une cage ?

Une quoi ?

Une cage de chasteté !

Ha non ....je ne sais même pas ce que c'est ! Et j'éclatais de rire ,afin de cacher mon ignorance,et mis fin ainsi à la conversation.

Je me promettais de me renseigner sur ces fameuses cages de chasteté,après tout ,bientôt Alain allait faire des 55 ans,et il me fallait trouver un cadeau a sa mesure.